Haïti en détresse ,en larme : Une semaine sous la terreur des bandits, le silence assourdissant du gouvernement, un peuple abandonné.
Haïti en détresse ,en larme : Une semaine sous la terreur des bandits, le silence assourdissant du gouvernement, un peuple abandonné.
Depuis une semaine que les gangs armés sèment la terreur en Haïti. Chaque jour, ils étendent leur contrôle sur de nouveaux territoires, imposant leur loi par la violence et le chaos.Pendant les gens sombrer dans la peur et la douleurs le gouvernement garde le silence.
Les attaques des bandits se multiplient, forçant des milliers de familles à fuir leurs maisons pour chercher refuge dans des abris provisoires sans eau ni nourriture suffisante. La peur règne, les écoles et les hôpitaux ferment, et les rues sont de plus en plus dangereuses.
La capitale, Port-au-Prince, est particulièrement touchée, avec des quartiers entiers tombant sous le contrôle des groupes armés. Les habitants vivent dans la peur constante des enlèvements, des assassinats et des pillages.
Chaque jour le nombre de victimes ne cesse d’augmenter. Hommes, femmes et enfants sont tués dans des affrontements, pris entre les balles des gangs et l’indifférence des autorités.
Les témoignages de survivants sont bouleversants. « Mwen pa mnje Map bay la pire >> raconte une mère de famille en voyant son fils mort transporté sur une brouette.
Les appels à l’aide se multiplient, mais personne ne répond. Alors que le pays sombre de jours en jours dans la violence .Les dirigeants, ceux qui devraient protéger leur peuple, détournent le regard. Le silence du gouvernement est plus assourdissant que les tirs. Il pèse lourd sur les cœurs brisés, sur les corps fatigués, sur une nation qui saigne.
Malgré tout, Haïti résiste. Des mains se tendent, des cœurs battent encore avec espoir. Mais combien de temps encore?Jusqu’à quand la population devra-t-elle endurer cette violence ?
Haïti meurt à petit feu. Qui viendra éteindre l’incendie avant qu’il ne soit trop tard ?
Écrit par : Vanessa Duversaint / PDG Welcome Ayiti Média
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